Une entame d’assouplissement monétaire de la Fed constitue toujours un évènement mondial.
D’abord, en raison de son impact sur le cycle mondial. Avec plus de 30% de la consommation mondiale (en dollars), la demande américaine oriente à l’évidence l’évolution de la demande mondiale.
La situation macro s’est globalement dégradée durant l’été avant de se stabiliser en septembre. Le ralentissement de l’activité est plus net dans les pays développés (Etats-Unis, Europe) et la Chine. Néanmoins, la croissance mondiale se maintient sur des niveaux satisfaisants proches de 3% (en PPA) au T3 selon le PMI composite d’août.
On the long run, financial markets are driven by two major, opposite forces: value and trend. As we are crossing into a new decade, we might be at a turning point, when the former overcomes the latter.
Ever since the referendum in 2016, there has been an increasingly depressing dialogue of the deaf over what is undoubtedly the defining socio-economic issue of the century for the UK. We have substituted reasoned argument over the pros and cons of belonging to the European club with rants over ‘the will of the people’, what the Germans did to the grandfathers of the present-day European Research Group (ERG) and a wholesale dismissal of ‘experts’ and ‘elites’ – after all, what do they know? Any debate about our future in or out of Europe must start with the current state of the economy – not a bald GDP number, but an analysis of what we do well and what we don’t. This is an attempt to put some context into the debate.
Last week the financial sector and the international development sector gathered in Geneva to discuss how asset managers, asset owners and banks can contribute to achieving the UN’s Sustainable Development Goals. Here is why one should resist the temptation of cynicism.
Greece and Iceland’s recent economic histories offer an interesting case for a comparative study. Highlighting the danger of running a large current account deficit, their experience can also be a guide for the future of the British economy and currency.
As recession fears rose last week, government bond yields in Europe reached new lows. In our opinion, a long-term investor ought to seek better investments than assets that will yield negative nominal returns over several decades.
Dans cet article publié dans Le Temps, notre gérant de fonds Michaël Malquarti a exposé son opinion sur le bitcoin.
Spécialiste du système monétaire, il démonte les arguments justifiant la hausse vertigineuse de la monnaie virtuelle. Sans cours légal, sans consensus sur sa valeur, le bitcoin ne vaut en fait rien…
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