Cet article de Georgina Parker a été publié sur le site financier Allnews.
Les vagues de chaleur torride qui ont frappé l’Europe ces dernières semaines ont fait les gros titres et réaffirmé que le réchauffement planétaire est bel et bien un risque.
Cet article de Georgina Parker a été publié sur le site financier Allnews.
Les vagues de chaleur torride qui ont frappé l’Europe ces dernières semaines ont fait les gros titres et réaffirmé que le réchauffement planétaire est bel et bien un risque.
Le monde de l’investissement durable a tendance à se concentrer sur les grandes entreprises. Cela s’explique facilement car elles ont des empreintes et des impacts beaucoup plus importants que les petites capitalisations. Cependant, nous pensons qu’il est dangereux et peu judicieux de laisser de côté les petites et moyennes entreprises, car une part importante du PIB mondial est entre leurs mains et qu’elles ont la capacité de répondre aux problèmes environnementaux et sociaux.
Après l’obtention du label ISR pour son fonds consacré à l’immobilier d’enseignement, QUAERO CAPITAL poursuit sa dynamique et reçoit la labellisation de son fonds Quaero Capital Funds (Lux) – Infrastructure Securities. Il s’agit du premier véhicule actif investi à 100% en actions cotées du secteur des infrastructures à disposer de ce label.
Nous sommes au milieu de la saison des assemblées générales (AG) et nous voyons de plus en plus de questions environnementales et sociales apparaître sur les ordres du jour. Les AG représentent une occasion très précieuse pour les actionnaires d’interpeller le conseil d’administration, d’utiliser leurs voix lors des votes et de s’opposer à des structures de gouvernance faibles ou inadéquates.
Cet article de Georgina Parker a été publié sur le site financier Allnews.
La saison des assemblées générales bat son plein. Et les investisseurs y votent davantage sur les questions soulevées par les actionnaires.
Tout bien considéré, le secteur de l’énergie propre semble pouvoir bénéficier d’un alignement unique des étoiles. En effet, jamais auparavant la politique et la réglementation n’ont fait avancer l’énergie propre avec une telle force et une telle visibilité.
Le 6ème rapport d’évaluation sur le changement climatique du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), dont le troisième volet a été publié au début du mois, n’a pas été facile à lire. Les émissions mondiales de CO2 ont augmenté de +6% pour atteindre 36,3 milliards de tonnes en 2021, faisant plus que compenser la réduction en 2020 due à Covid-19. La reprise durable tant vantée par les gouvernements ne s’est pas encore concrétisée.
Le développement du secteur des énergies propres a toujours été fortement influencé par des crises énergétiques. La guerre en Ukraine et son impact majeur sur les marchés de l’énergie ne feront pas exception. Malheureusement, il aura fallu une tragédie à nos portes pour que nous prenions conscience que les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique ne concernent pas seulement le changement climatique mais aussi notre indépendance, notre liberté et notre prospérité future.
Alors que les investisseurs et entreprises sortent en masse du marché russe, de nouveaux critères, comme la défense de la démocratie et la non-dépendance à des régimes autoritaires, redonnent du lustre à des secteurs jusqu’ici bannis.
Cet article de Martina Turner a été publié sur le site financier Allnews.
La crise ukrainienne montre à quel point la dépendance de l’Europe au gaz russe est problématique. Il ne saurait y avoir d’indépendance politique sans indépendance énergétique. L’utilisation par la Russie de son gaz naturel comme d’une « arme » en constitue une parfaite illustration (le directeur de l’Agence internationale de l’énergie (AIE) a exposé les preuves d’un « resserrement artificiel » de l’offre par la Russie l’année dernière alors que la demande saisonnière était élevée).