We would like to keep you up to date with our thinking in this period of extreme volatility and give you a quick update on our funds at QUAERO CAPITAL. In the fog of war, it is extremely hazardous to make any prediction and invariably, these tend to be highly contextual or misguided in a shock such as the one we have experienced this quarter.
We can however make a number of observations that we hope will be useful to our clients.
Cette chronique de Jean Keller a été publiée dans Le Temps du 3 février 2020. Lire l’article.
Alors que la BNS semble enfermée dans la notion très conservatrice selon laquelle il faudrait souffrir beaucoup pour mériter un avenir meilleur, il est grand temps que nos autorités ouvrent enfin les cordons de leur bourse. Car les projets d’investissement majeurs ne manquent pas !
Cette chronique de notre CEO Jean Keller a été publiée dans Le Temps du 18 novembre 2019. Lire l’article.
La gestion passive est partout. Mais son poids grandissant a des conséquences négatives insoupçonnées et elle atteint clairement ses limites lorsqu’elle s’attaque à l’investissement responsable.
Cette chronique de notre CEO Jean Keller a été publiée dans Le Temps du 2 septembre 2019. Lire l’article.
Au risque d’enfoncer une porte ouverte, force est de constater que les politiques monétaires expansives de ces dix dernières années nous ont menés dans une impasse. Car si le « Quantitative Easing » a certainement contribué à sauver l’Europe d’une catastrophe économique, il faut bien admettre que nous avons atteint les limites du modèle et qu’il est urgent de trouver d’autres outils de politique conjoncturelle afin relancer la consommation moribonde sur le Vieux Continent.
Dans cette chronique publiée le 1er juillet 2019 dans Le Temps, notre CEO Jean Keller revient sur les raisons qui ont poussé le gérant star britannique Neil Woodford à suspendre les remboursements de son fonds amiral.
Il insiste notamment sur l’importance d’adapter la liquidité d’un fonds à celle des investissements sous-jacents et incite les gérants à faire preuve d’auto-discipline en limitant volontairement la taille de leur fonds pour sauvegarder les intérêts des investisseurs.
Dans cet article paru dans Le Temps du 3 juin, notre CEO Jean Keller explique pourquoi Genève ferait bien de s’inspirer de l’exemple français en créant un fonds de place.
En apportant du capital d’amorçage, un tel instrument favoriserait l’innovation financière en permettant à de nouveaux gérants et de nouvelles stratégies d’émerger.
Il y a dix ans, alors que le secret bancaire suisse était en train de mourir et que les pressions internationales devenaient très fortes sur notre pays, beaucoup doutaient de la capacité de la place financière suisse à se réinventer. La majorité des observateurs prédisaient les plus grandes difficultés pour nos banques, ainsi que la disparition de centaines de places de travail. Du fait de l’importance évidente de la place financière dans notre économie locale, cette tempête devait toucher Genève plus que d’autres régions helvétiques. Aujourd’hui, force est de constater – et c’est une excellente nouvelle – que les prévisions pessimistes de l’époque ne se sont pas matérialisées, bien au contraire. Certes, certains acteurs trop petits ont dû fusionner pour atteindre la taille critique et des emplois ont effectivement – et très malheureusement — été supprimés. Cependant, la disparition annoncée de notre secteur financier ne s’est pas produite et nous pouvons nous réjouir que la place financière suisse ait été capable de se réinventer.
L’intégration de critères ESG dans la gestion d’actifs n’a rien de nouveau, puisque les fonds « verts » ont vu le jour dans les années 80 déjà. Cependant, sous la pression conjuguée des investisseurs, des consommateurs et des législateurs, la gestion durable est aujourd’hui passée du statut d’attribut sympathique mais complètement optionnel à celui d’impératif incontournable.
L’industrie de la gestion d’actifs a vécu une concentration sans précédent au cours des vingt dernières années, un phénomène qui s’est encore accéléré depuis la crise financière de 2008. On a ainsi assisté à la naissance de méga-marques mondiales qui ont attiré l’essentiel des flux de fonds, au point qu’aux Etats-Unis, les 10 plus grandes maisons de gestion collectent aujourd’hui près de 85% des flux totaux dans les fonds de placement.
Dans cet article paru dans Le Temps du 30 juillet 2018, notre CEO Jean Keller explique comment certains secteurs de l’infrastructure peuvent protéger les portefeuilles en cas de guerre commerciale.
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