2023 sera une année de soutien politique sans précédent.
Energie propre et Net Zéro – Le vent en poupe

2023 sera une année de soutien politique sans précédent.
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La loi sur la réduction de l’inflation (IRA : Inflation Reduction Act) a été promulguée par le président Biden le 16 août après que les démocrates de la Chambre des représentants ont approuvé, par un vote de 220 voix contre 207, le plus gros investissement fédéral jamais réalisé pour lutter contre le changement climatique. Le plan vise 369 milliards de dollars de dépenses pour l’énergie et la lutte contre le réchauffement. Pour illustrer cette taille monumentale, certains soulignent que les dépenses seront quatre fois supérieures à celles de la loi de relance de 2009 du président Obama pour les initiatives climatiques. L’impact sera considérable. Cette législation vise à réduire les émissions d’au moins 40% d’ici à 2030.
Cet article de Georgina Parker a été publié sur le site financier Allnews.
Les vagues de chaleur torride qui ont frappé l’Europe ces dernières semaines ont fait les gros titres et réaffirmé que le réchauffement planétaire est bel et bien un risque.
Le 6ème rapport d’évaluation sur le changement climatique du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC), dont le troisième volet a été publié au début du mois, n’a pas été facile à lire. Les émissions mondiales de CO2 ont augmenté de +6% pour atteindre 36,3 milliards de tonnes en 2021, faisant plus que compenser la réduction en 2020 due à Covid-19. La reprise durable tant vantée par les gouvernements ne s’est pas encore concrétisée.
Le développement du secteur des énergies propres a toujours été fortement influencé par des crises énergétiques. La guerre en Ukraine et son impact majeur sur les marchés de l’énergie ne feront pas exception. Malheureusement, il aura fallu une tragédie à nos portes pour que nous prenions conscience que les énergies renouvelables et l’efficacité énergétique ne concernent pas seulement le changement climatique mais aussi notre indépendance, notre liberté et notre prospérité future.
While global leaders convened in Glasgow to achieve a low-carbon future, we can reflect on a very different picture in current energy markets.
There are mixed feelings coming out of the COP26. On the one hand, there were multiple new agreements and declarations that progress in the fight against climate change. On the other, they do not yet go far enough: we’re only just keeping the 1.5°C scenario alive. Pre-COP 26, we were on course for 2.7°C warming and the announcements during the conference put us somewhere between 1.8 °C and 2.4°C, depending on which study and organisation you believe. Of course, the devil is in the detail and the implementation. There is an enormous amount of work to be done to convert these commitments into action and to work out how these commitments will be policed.
Cette chronique de Jean Keller est parue dans Le Temps du 15 novembre 2021. Lire l’article en PDF.
Alors que le secteur financier est souvent accusé de greenwashing, il faut rappeler que des investissements responsables ne peuvent se faire qu’avec des sociétés vraiment durables. C’est pourquoi des standards de reporting de durabilité pour les entreprises sont essentiels.
Cet article est initialement paru en septembre 2021 dans le numéro « Spécial Institutionnels » du magazine financier SPHERE.
Après d’âpres négociations, les 27 pays membres de l’UE et le Parlement européen ont accepté en avril d’inscrire l’objectif de neutralité carbone d’ici 2050 dans une « loi climat ». Et ce « Green New Deal » est bien plus qu’un vœu pieux, car il ne se contente pas de fixer des objectifs ambitieux. Il prévoit surtout des investissements massifs, notamment dans l’infrastructure. Alors pour en tirer le meilleur parti, les grands gagnants se trouvent peut-être du côté des investissements directs dans les projets d’infrastructure.