L’ambitieux projet chinois de « nouvelle Route de la Soie » vise à construire des infrastructures de transport routier, ferroviaire et maritime, des réseaux électriques, des oléoducs et des gazoducs dans 78 pays en Asie, en Afrique et en Europe. Pourtant, malgré l’ampleur pharaonique du projet, il est très difficile pour des investisseurs étrangers d’y participer. Heureusement, d’autres initiatives publiques aux États-Unis, au Canada, en Europe, en Australie, en Nouvelle-Zélande et au Royaume-Uni offrent des alternatives pour les investissements dans les infrastructures.
Pour comprendre quelles sont les différentes voies de décarbonation qui s’offrent à nous, on peut se référer à l’équation de Kaya[1] utilisée par le GIEC pour établir ses scénarios d’émissions.
Emissions totale de CO2 = (Population) X (Revenu par personne) X (émissions de CO2 par USD de revenu)
L’infrastructure est à la mode, et pour de bonnes raisons ! En voici 5 qui vont de la performance à la protection contre l’inflation, en passant par l’accélération de la transition énergétique.
Dans un contexte macroéconomique largement incertain au niveau mondial, nous restons prudents pour l’année 2023 et adoptons un positionnement relativement défensif.
Le lithium est clé pour les batteries. Les batteries sont clé pour l’électrification. L’électrification est clé pour la transition énergétique. Voilà pourquoi le lithium est au cœur de nombreux débats. De tous les minerais indispensables à la transition, le lithium est sans doute celui qui fait couler le plus d’encre. Il alimente un certain nombre de craintes, notamment de possibles ruptures d’approvisionnement, mais aussi quelques fantasmes. Qu’en est-il vraiment ?
Alors qu’elle dépendait largement de la Russie pour son approvisionnement en gaz, l’Europe a, aidée par un automne clément, réussi le tour de force de réduire sa consommation et de trouver des sources alternatives d’approvisionnement. Le spectre d’une pénurie de gaz semble donc se dissiper. Reste que les mesures prises sont en partie temporaires et que de nombreux investissements en infrastructure devront être effectués tambour battant.
Aux côtés des énergies renouvelables, les installations de télécommunication représentent le sous-secteur le plus dynamique de l’univers d’investissement des infrastructures. Grâce à un soutien gouvernemental massif, il offre de nombreuses opportunités, même si les différents actifs présentent des dynamiques disparates.
Les sociétés d’infrastructure sont actuellement confrontées à plusieurs risques externes majeurs, notamment une inflation croissante, des taux d’intérêt qui remontent, des prix de l’énergie en hausse, un manque de main-d’œuvre, une intervention des pouvoirs publics pour contrôler les prix de l’énergie, des pénuries de gaz naturel, d’énergie et de composants essentiels des énergies renouvelables, des sanctions russes et des défaillances de la chaîne d’approvisionnement. Sans parler du COVID.
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